Topalli demande à Moisiu de ne pas décreter la loi sur les
propriétés
TIRANA, 11 juin /ATA/ Par Maela Marini/ - La
vice-présidente du Parti démocratique, Jozefina Topalli, a
demandé au président albanais Alfred Moisiu de ne pas décreter la
loi sur les propriétés lors d'une conférence de presse vendredi.
Selon elle, "M.Moisiu ne doit pas décreter une loi qui n'a
pas été adoptée avec consensus". "Pourtant, le PD se déclare
disponible à continuer le travail pour restituer les propriétés
aux propriétaires légaux", a conclu Mme.Topalli./lola/JDE/
TIRANE (11 Qershor) - Nënkryetarja e Partisë Demokratike, Jozefina
Topalli kërkoi sot gjatë një konference për shtyp, që presidenti Alfred
Moisiu të mos dekretojë ligjin e pronave. Sipas saj, Moisiu nuk duhet të
dekretojë një ligj i cili nuk u miratua me konsensus. "Megjithatë
Partia Demokratike shpreh gadishmërinë që të vazhdojë punën, për të
kthyer pronën tek pronari i ligjshëm" tha Topalli. ro/ro (BalkanWeb)
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Jeudi, Juin 10, 2004 Signalé: 7:16 PM
Le député socialiste Ruçi qualifie d'"unilatérale" la position de
l'ambassadeur de l'OSCE, Lipponen, à propos de la loi pour les
propriétés
TIRANA, 10 juin /ATA-Maela Marini/ Le président du groupe
parlemenatire du Parti socialiste (PS), Gramoz Ruçi, a qualifié
"d'hative et d'unilatérale" la position de l'ambassadeur de
l'OSCE . Tirana, Osmo Lipponen, à propos du vote de la loi pour
les propriétés, lors d'une conférence de presse.
L'ambassadeur Lipponen a apprécié, hier (9 juin)
l'approbation de la loi pour les propriétés, ainsi que s'est
déclaré désolé de la rupture du consensus entre la majorité et
l'opposition. Selon l'ambassadeur Lipponen, cela a entravé,
l'approbation hative des derniers articles sans débat ouvert.
En revanche, M. Ruçi a affirm, que "le processus de
l'élaboration de ce projet de loi et sa discussion . l'Assemblée
a été réalisé en coopération étroite et continuelle avec les
experts de l'OSCE . Tirana".
Dans ce contexte, M. Ruçi a souligné que "tous les
amendements proposés dans ce loi sont en conformité avec les
règles de l'Assemblée et les principes constitutionnelles".
"Les positions et l'intervention de l'ambassadeur de l'OSCE
. propos des procédures parlementaires sont dénuées de tout
fondement. Nous croyons que telles évaluations sont basées sur
des informations partielles et sur des interprétations
unilatérales et entant que telles peuvent avoir des effets
négatifs, lesquels ne servent pas . l'augmentation de la
confiance concernant l'application de la loi", a conclu M. Ruçi.
/klod/er/
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Vendredi, Juin 11, 2004 Signalé: 6:23 PM
Le gouvernement albanais adopte la décision "sur la stratégie de
sécurité en Albanie"
TIRANA, 11 juin /ATA/ Par Maela Marini/ - Le gouvernement
albanais a adopté vendredi le projet de loi "sur la Stratégie de
Sécurité en Albanie", a déclaré le porte-parole du gouvernement,
Aldrin Dalipi, lors d'une conférence de presse vendredi.
Selon M.Dalipi, la stratégie se base sur les perspectives
de la politique étatique pour la sécurité des citoyens, de la
société et de l'Etat démocratique albanais.
Le document détermine le "non changement des limites en ce
qui concerne l'utilisation de la force, l'utilisation des sources
communes pour l'affrontement des défis de sécurité et la gestion
démocratique des organismes de la sécurité nationale.
De même, M.Dalipi a souligné que la stratégie détermine
l'utilisation des éléments du pouvoir national pour l'avancement
des intérêts nationaux et la croissance de l'économie en tant
qu'un des éléments fondementaux de la sécurité nationale, ainsi
que la contribution nationale concrète pour le renforcement de la
sécurité dans la région et ailleurs"./lola/JDE
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Samedi, Juin 12, 2004 Signalé: 1:55 PM
Kosova encore au carrefour, cinq ans après l'adoption de la
résolution 1244
Tirane, 12 juin /ATA/ Elira Çanga: Cinq ans après
l'adoption de la résolution 1244 du Conseil de la Sécurité
del'ONU, autorisant le gouvernement internationale pour la Kosove
d'après guerre, les leaders kosovars ont demandé la modification
du document et le transfert du pouvoir aux autorités locales.
Cette demande continue des politiciens de Prishtina est
intensifiée au cinquième anniversaire de l'adoption de la
résolution, cependant que la Kosova continue à se heurter face à
des risques de la sécurité, des tensions età une situation
économique marquant le pas depuis quelques temps.
Mettant en évidence le moindre progrès en Kosove, durant
les dernières années, le Président du parlement de la Kosove,
Nexhat Daci, a souligné hier que la Kosove est disposée de
prendre ses responsabilités, sans l'aide des internationaux.
"Nous marquons le pas depuis longtemps en raison d'une résolution
qui n'est pas du tout fonctionnelle et efficace," a déclaré Daci.
Selon lui, les internationaux devront quitter la Kosove, mais les
forces de l'OTAN devront y rester en raison de la situation de la
sécurité.
Egalement, le chef du Parti Démocratique de la Kosove,
Hashim Thaçi, a déclaré que la MINUK doit avoir un personnel
moins nombreux en Kosove". Sa mission a terminé ici et ceux qui
devront diriger la Kosove devront être les kosovars, eux-mêmes, a
déclaré Thaçi. Plus prudent dans ses déclaration était le
président de la Kosove, Ibrahim Rugova , qui a déclaré hier que
l'année prochaine trouvera la Kosove indépendante, mais il n'a
fait aucun commentaire au sujet de la demande des politiciens
kosovars pour changer la situation en Kosove. Les autres leaders
kosovars ont exprimé continuellement leurs doutes au sujet de
l'administration de la Kosove par l'ONU, mais indépendamment, ils
ne se sont pas déclarés ouvertement sur cette question.
La mission très difficile de l'ONU a fait face au regain
des tensions ethniques, aux troubles comme ceux du mars dernier
et aux nombreux incidents. Il s'avère qu'une telle situation,
chargée de tensions, a provoqué la démission du chef de la MINUK,
Harri Holkeri. Avant de son départ, de la Kosove, il a déclaré
hier que "la situation dans le pays est difficile".
Son départ a laissé la Kosove sans un dirigeant de
l'administration internationale , qui doit préparer le pays pour
réaliser les standards, fixés comme une condition, pour
l'ouverture des négociations sur le statut final.
En effet, la situation dans laquelle se trouve la MINUK et
en une certaine manière son échec concernant le contrôle des
troubles du mars en Kosove, a suscité l'augmentation des voix,
selon lesquelles c'est l'Union Européenne qui doit contrôler la
Kosove.
La première idée à ce sujet a été présentée avant l'adoption
de la résolution 1244 pour la Kosove. En avril de l'année 1999,
lors d'un entretien des chefs d'Etats et des gouvernements de
l'Union Européenne a été lancée l'idée de la création d'une
administration transitoire internationale, sous la direction de
l'Union Européenne. Mais cette idée n'a pas trouvé du soutien.
Toutefois, l'influence de l'UE a été mis en évidence
continuellement en la Kosove d'après guerre. Le pilier de l'UE
dans la MINUK, ensuite l'Agence Européenne pour la reconstruction
et les présidences en exercice de l'Union Européenne ont été
concentrées sur la construction d'un corniche économique pour la
Kosove.
Le processus de la privatisation a été initié pour
atteindre la création d'une économie du marché en Kosove,
cependant l'économie kosovare a été aidé par les financements des
programmes de l'UE.
Indépendamment de cette influence économique de l'UE, le
développement politique a été très modeste. Les visites
fréquentes des représentants européens en Kosove et leurs
déclarations n'ont pas découvert quelque stratégie particulière,
ou un plan de l'UE pour la Kosovoe.
Ainsi, le représentant pour la politique étrangère de l'UE,
Havier Solana a soutenu la déclaration du diplomate américain ,
Mark Grossman pour commencer les négociations sur la question du
statut de la Kosove à la moitié de l'année 2005, si les standards
sont réalisés. La déclaration de Chriss Patten, pour considérer
comme "une base de discussion" la proposition de Vojislav
Kostunica pour la cantonisation de la Kosove, a rendu les
kosovars encore plus sceptiques à propos des images de l'UE sur
la Kosove. Egalement, les propositions de l'Union Européenne pour
faire de la Kosove une zone de la confiance de l'UE, n'ont pas
trouvé le soutien des leaders kosovars.
Les doutes à l'égard de l'administration de la Kosove par
la MINUK et le scepticisme à l'égard des idées de l'UE ont
augmenté la confusion concernant l'avenir de la Kosove. /mp/LS